|
|
|
|
|
|
 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Pour
tout renseignement, appelez nos conseillers au |
 |
 |
|
|
|
|
 |
Partagez
le retour d’expérience de nos intervenants en lisant
chaque mois |
 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |
|
|
Rôle
du Sauveteur Secouriste du Travail (SST) dans l’entreprise
: |
|
|
|
-
Il porte secours à une victime d’accident,
- Il évite le « sur-accident »,
- Il prévient la survenue du même type d’accident,
- Il connaît les risques de son entreprise,
- Il est un interlocuteur privilégié pour la prévention
des risques professionnels,
- Il connaît et fait connaître l'emplacement de tout le
matériel de secours,
- Il fait en sorte que le matériel de secours soit en état
et à portée de main,
- Il connaît les différents services de secours et sait
les alerter rapidement,
- Il connaît l'emplacement et le contenu des registres d'hygiène
et sécurité.
Les
connaissances acquises par le salarié lors du stage lui sont
également utiles en dehors de l'entreprise car il peut, en cas
de nécessité, porter secours à un membre de sa
famille ou à un ami.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |
|
|
Le
sauveteur-secouriste du travail est aussi un préventeur.
|
|
|
|
Habilité
en tant qu'intervenant en prévention des risques professionnels,
notre organisme place la prévention au coeur de sa formation.
Ainsi
formé à l'identification des travaux dangereux et situations
à risques, le SST peut être associé à
la préparation du document unique d’évaluation des
risques professionnels.
Plus
conscient des risques d’accident, il sensibilise ses collègues
au port des EPI et au respect des règles de sécurité.
Il peut également, à la demande du chef d'entreprise,
participer à l’élaboration du programme d’action
de prévention. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |
|
|
Respect
des obligation légales |
|
|
|
-
Respect
de l'article L. 4121-1 du Code du travail
: « L’employeur prend les mesures nécessaires
pour assurer la sécurité et protéger la santé
physique et mentale des travailleurs.
Ces mesures comprennent :
1° Des actions de prévention des risques professionnels ;
2° Des actions d’information et de formation ;
3° La mise en place d’une organisation et de moyens adaptés.
L’employeur veille à l’adaptation de ces mesures
pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à
l’amélioration des situations existantes."
- Respect de l' article R. 4224-15 du Code du travail
: "Un membre du personnel reçoit la formation de secouriste
nécessaire pour donner les premiers secours en cas d’urgence
dans :
1° Chaque atelier où sont accomplis des travaux dangereux
;
2° Chaque chantier employant vingt travailleurs au moins pendant
plus de quinze jours où sont réalisés des travaux
dangereux.
Les travailleurs ainsi formés ne peuvent remplacer les infirmiers."
-
Respect de la Circulaire 53/2007 (CNAM) du 3 décembre
2007 : "Le SST devient ainsi un précieux auxiliaire
de prévention capable, non seulement, d'apporter son concours
à la rédaction du document unique concernant l'évaluation
des risques (code du travail L 230-2 et R230-1), mais également
de faire remonter les informations nécessaires à son actualisation".
-
Respect de la Directive CE n° 89/391 du 12 juin 1989 :
" 1. Obligation de l’employeur. En vertu du contrat de
travail, l’employeur est tenu envers le salarié d’une
obligation de sécurité de résultat, notamment en
ce qui concerne les accidents du travail ; le manquement à cette
obligation a le caractère d’une faute inexcusable lorsque
l’employeur avait ou aurait dû avoir conscience du danger
auquel était exposé le salarié, et qu’il
n’a pas pris les mesures nécessaires pour l’en préserver.
2. Responsabilité de l’employeur. Les dispositions de l’art.
L. 230-2 (L. 4121-1 nouv.) ne sont pas pénalement sanctionnées.
(…) Comp : L’employeur qui a contribué à créer
la situation ayant permis la réalisation du dommage et n’a
pas pris les mesures permettant de l’éviter, a commis une
faute caractérisée, au sens de l’art. 121-3 code
pénal»
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |
|
|
Un
investissement rentable pour l'entreprise |
|
|
|
Le
coût d’un accident du travail (AT) pour l’entreprise
est composé du coût direct et du coût indirect.
Le coût direct est le montant des frais pris en charge par la
cotisation AT/MP
Le coût indirect est égal aux dépenses assumées
en totalité par les entreprises.
Le coût indirect peut représenter 3 à 5 fois le
coût direct.
Exemple
d’un AT avec arrêt, sans incapacité permanente, qui
occasionnerait 2.500 euros de frais (indemnités journalières,
frais médicaux : coût direct) : ce montant représente
le coût moyen d’un AT.
Il
pourra coûter en réalité plus de 10.000 euros à
l’entreprise :
- temps perdu au moment de l’accident : arrêt de production,
- remplacement de la victime : intérim, CDD, heures supplémentaires,
- pertes et retards de production,
- frais administratifs : secrétariat, courriers, téléphone,
- temps passé aux enquêtes et analyses (CHSCT, encadrement…),
- temps passé pour recevoir les services extérieurs :
inspection du travail, CRAM, police…,
- éventuelles poursuites judicaires : avocats, condamnations…
- altération du climat social dans l’entreprise.
Source
: CRAM IdF
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Conformément
aux nouvelles dispositions de la circulaire CIR-32/2010
(CNAM) Point
Org Sécurité est habilité à dispenser
des formations de S.S.T sous le numéro 1090/2011/SST/12.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |